Correspondance, datée du 2 mai 1916, du Grand-Rabbin R. Arditti, délégué du gouvernement tunisien près de la Caisse de Secours et de Bienfaisance Israélite. Dans ce document Arditti rapporta ce qui lui a été révélé par un de ses amis « un savant des plus distingués », concernant l’accent zarka : « Le verbe zarâq assyrien signifie répandre (un liquide), comme l’hébreu. Le substantif ziriq veut dire ruisseau (allemand Rinne). » et conclut « En musique, on peut penser à un mode coulant » en s’appuyant sur le fait que dans le rite allemand le chant de cet accent est en effet, coulant.